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La garnison de Grandjoie comprend près de 400 hommes. On y trouve des troupes variées, de différentes valeurs. La noblesse joue un rôle important dans la défense de la cité car c’est de ses rangs que sont issus la plupart des officiers.
Elle comprend 37 gardes. Elle est dirigée par un capitaine. Son rôle est de maintenir l’ordre en ville. En réalité, cette troupe sert surtout à garder les bâtiments officiels, à accompagner les personnalités de la cité lors de leurs déplacements et à participer aux défilés et diverses cérémonies. Les mauvaises langues disent qu’il s’agit d’une troupe d’apparat qui coûte bien cher à la cité pour peu d’utilité…
Composée de 45 miliciens, elle est dirigée par trois sergents et un capitaine. La milice est financée par les guildes marchandes et artisanes. En conséquence, elle sert surtout à protéger leurs intérêts : lutte contre la Guilde des Voleurs, patrouilles dans les rues commerçantes, surveillance des entrepôts, etc.
Elle comprend 50 hommes d’armes, 60 soldats, deux sergents et un capitaine. Elle assure la sécurité de la cité face à une agression extérieure. Les hommes d’armes et soldats patrouillent sur les remparts de la ville. Ils surveillent les entrées de la ville et le port. Dans les tours de guet, des sentinelles surveillent, jour et nuit, l’extérieur de la cité. C’est le capitaine qui est détenteur des clefs de la ville et qui est chargé chaque soir d’en fermer les portes.
Les Unités Spéciales de l’Armée On trouve 3 archers d’élite, 1 sapeur, 3 guerriers spécialisés dans les combats souterrains (surveillance des égouts) et 5 chefs balistaires. Grandjoie dispose de 5 balistes toujours prêtes à être utilisées. Elles sont sous la responsabilité d’un capitaine des Balistes.
Grandjoie possède 4 navires de guerre et 70 combattants embarqués. Grandjoie n’a jamais été attaquée par la mer. Mais, si c’était un jour le cas, les quatre navires pourraient alors servir à sa protection. Actuellement, la marine de Grandjoie est surtout employée pour lutter contre les pirates qui s’attaquent aux navires marchands battant le pavillon de la cité.
Elle comprend 8 patrouilleurs (4 sang-mêlé et 4 nains) dirigés par un capitaine nain. Elle est chargée de patrouiller dans les environs de Grandjoie. Le sud de Grandjoie est particulièrement surveillé, la cité ayant subit au cours de son histoire de nombreux assauts des hommes-lézards des marais Dibhofro.
La cité maintient en permanence une unité d’éclaireurs dirigés par un capitaine. Le nombre d’hommes et les activités exactes de cette unité ne sont pas connus. On raconte que les hommes qui la compose seraient triés sur le volet et leur dévouement à la cité total.
Il sont les protecteurs du duc de Grandjoie. Il sont au nombre de cinq, dirigés par un commandant. Cette unité est l’une des plus importantes de Grandjoie en valeur militaire.
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Il
s’agit d’une troupe privée, indépendante de la cité.
Un capitaine dirige une quarantaine d’hommes. Ces mercenaires sont souvent
embauchés par les guildes marchandes pour accompagner leurs convois
ou surveiller leurs entrepôts lorsqu’ils contiennent une précieuse
marchandise. Les mercenaires sont également parfois embauchés
comme gardes du corps par des notables de la cité. Les mercenaires
possèdent les trois salles d’armes de la cité (40, 41
et 42) dans lesquelles ils s’entraînent et dispensent leur art.
